Today’s corporate executives and owners seem willing to forsake history’s most successful social system for fear of the environmentalists, social justice warriors, and woke activists, greedy stakeholders all, now encircling them.
Le populisme est plausible si on le définit comme un régime politique où, chaque citoyen individuel se gouverne lui-même Cependant, il existe déjà avec le libéralisme classique.
Although the topic may appear abstract or theoretical, it has momentous practical implications.
Le populisme semble avoir gagné du terrain ces dernières années. Pourtant, de nombreux économistes et politicologues soutiennent que le « peuple » n’existe pas, si ce n’est comme un ensemble d’individus distincts, qui ont leurs propres préférences et valeurs. Dans cette publication, l’auteur Pierre Lemieux démontre que ce raisonnement a des implications pratiques importantes pour la démocratie.
Dans un article publié récemment dans La Presse+, Stéphane Roussel de l’École nationale d’administration publique défend trois thèses bien critiquables.
Le concept de socialisme mérite d’être rigoureusement défini.
Une définition utile et intuitive de la liberté économique est qu’elle consiste dans la liberté (absence de coercition) d’échanger quelque chose (achat ou vente) avec une partie consentante. Une société fondée sur la liberté économique est une société (ou économie) de marché. Ce régime est-il économiquement avantageux? S’agit-il seulement d’une question d’argent? Et l’éthique? N’y a-t-il pas des exceptions qui requièrent l’intervention des pouvoirs publics? Cette Note économique répond à ces questions.
Texte d’opinion publié en exclusivité sur le site de l’IEDM.* Alors qu’elle expliquait les « différences significatives » qui persistaient toujours entre le Canada […]
L’aide internationale, contrairement au commerce et à la libre entreprise, a un impact limité sur la lutte contre la pauvreté. Pourtant, les bureaucraties internationales s’évertuent encore à créer de nouvelles taxes pour l’aide au développement.
Les problèmes budgétaires des États-Unis.
Discours de Maxime Bernier à l’Albany Club.
L’importance du libre-échange.
Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) vient d’ordonner aux compagnies de téléphone de vendre en gros à leurs concurrents des services Internet équivalents à ceux qu’elles offrent à leurs propres abonnés sur les nouveaux réseaux. Personne ne croit que l’on devrait forcer les chaînes d’épicerie à partager leur réseau de distribution avec leurs concurrents, ou forcer Amazon.com à rendre son système de distribution en ligne disponible aux petites librairies. Par contre, plusieurs jugent nécessaire de forcer les compagnies de téléphone à offrir à des détaillants tiers un accès à leurs installations.
Tant à gauche qu’à droite, on présente la crise économique actuelle comme une conséquence de la cupidité et une preuve de l’échec du capitalisme. Un représentant du Socialist Workers Party britannique évoque une «crise du capitalisme». Le Front national, parti français d’extrême droite, pose le même diagnostic et rappelle «la nécessité d’un État à la fois fort, régulateur et arbitre face à la spéculation financière internationale et aux fonds de pension prédateurs». La crise remet-elle en cause le capitalisme?
L’économie souterraine recouvre la production marchande de biens et services, légaux et illégaux, qui sont vendus ou achetés dans l’illégalité. Elle comprend l’économie parallèle, où des biens et services légaux sont produits et échangés dans des conditions illégales, et les marchés noirs (productifs), domaine des biens et service illégaux, mais qui satisfont toutes les parties impliquées. L’histoire révèle une grande variété de prohibitions et d’impôts qui provoquèrent la contrebande dans de nombreux domaines. Cependant, la contrebande et les autres formes d’économie souterraine ne sont pas que des phénomènes historiques; ils sont omniprésents dans l’économie contemporaine: drogues, alcool, essence, tabac, etc. L’économie souterraine n’est pas seulement constituée des marchés noirs et de la contrebande dans l’économie parallèle. Elle comprend surtout des services vendus «sous la table», notamment des services de travail pour les entreprises ou les ménages (dans la construction et la rénovation, par exemple). […] Pour faire face au problème de l’économie souterraine, quatre options sont envisageables.
Publication du Point de l’IEDM sur les recettes et les dépenses du gouvernement fédéral.
Publication du Point de l’IEDM sur les recettes et les dépenses du gouvernement fédéral.
Publication du Point de l’IEDM sur les recettes et les dépenses du gouvernement fédéral.
Comment les dépenses et les recettes fédérales ont-elles évolué au cours des dernières décennies? Il est important de faire le point sur cette question, ne serait-ce que pour évaluer les orientations qu’adoptera le gouvernement issu de la présente campagne électorale. L’une des conclusions qui ressort est qu’il ne semble pas y avoir de corrélation entre l’évolution des dépenses et recettes fédérales et le parti au pouvoir.