
Gouvernements, écartez-vous
Les gouvernements parlent d’égalité mais multiplient les obstacles : impôts élevés, permis restrictifs, règles de logement. Pour réparer l’ascenseur des opportunités, il faut lever ces barrières plutôt que bloquer les portes.

Les opportunités dont bénéficient les Canadiens dépendent souvent de la géographie
Au Canada, vos chances de progresser dépendent encore trop de l’endroit où vous vivez. L’Alberta arrive première en mobilité sociale, le Québec dernier. Les barrières artificielles freinent certaines provinces et ralentissent tout le pays.

Il est temps de redonner des opportunités réelles à tous
L’ascenseur social canadien est en panne. Fardeau fiscal, règles de logement, permis restrictifs : les barrières artificielles s’ajoutent aux désavantages naturels et freinent la progression de millions de Canadiens. Il est temps de redonner des opportunités réelles à tous.

L’ascenseur social est brisé au Canada
La mobilité sociale est freinée par deux types de barrières : naturelles et artificielles. Si les barrières naturelles sont difficiles à changer, les barrières artificielles – impôts, réglementations, permis restrictifs – dépendent des décideurs politiques. Les réduire, c’est offrir plus de chances à tous.

Voici comment les barrières imposées par l’État limitent la mobilité sociale
Comme Oscar, trop de Canadiens voient leur avenir freiné par des règles dépassées et des coûts artificiellement élevés. Alléger les obstacles réglementaires et fiscaux, c’est redonner une vraie chance à ceux qui veulent travailler et progresser.

Qu’est-ce que la mobilité sociale et en quoi est-ce important?
La mobilité sociale, c’est la possibilité de gravir l’échelle des revenus et de progresser par l’effort et le talent. Quand cette chance disparaît, c’est la confiance dans la valeur du travail qui s’effrite.

Trop de Québécois quittent les urgences sans avoir été soignés
En 2024-2025, plus de 428 000 Québécois, soit 11,55 % des visites, ont quitté les urgences sans soins. Le manque d’accès aux soins primaires mène à l’engorgement des urgences. Le Québec doit élargir les cliniques et diversifier l’offre.

IEDM – Le déficit budgétaire du Québec est hors de contrôle
Québec aurait pu éliminer son déficit dès 2023-2024. Au lieu de revenir à une gestion rigoureuse, le gouvernement a cédé à l’effet de cliquet et maintenu des dépenses pandémiques. Résultat : un déficit record de 13,6 G$. Il est temps de corriger le tir.

IEDM – Les Canadiens veulent améliorer l’accès aux soins de santé privés
Les patients reconnaissent que les urgences bondées et les listes d’attente interminables nuisent à leur santé. Un nouveau sondage montre que les Canadiens soutiennent l’accès à des soins plus rapides, y compris privés. Il faut recentrer le système sur les patients.

IEDM – Les déficits à répétition du gouvernement fédéral doivent prendre fin
Ottawa affirme que ses déficits stimulent la croissance, mais à quel prix? Après 1,4 billion $ de dettes et 54 milliards $ d’intérêts annuels, le PIB par habitant n’a crû que de 2,5 % en 10 ans. Pendant ce temps, l’inflation a rongé les salaires et les jeunes font face à un fardeau écrasant. Tout ça pour ça?