fbpx

Théorie, histoire et penseurs

La Révolution tranquille au Québec: l’intervention de l’État n’explique pas le progrès économique

L’expansion de l’État québécois lors de la Révolution tranquille n’aurait pas eu d’impact significatif sur le niveau de vie des Québécois et Québécoises, indique cette publication de l’IEDM se basant sur des outils de modélisation économique. « L’enrichissement du peuple québécois à cette époque est bien réel, mais l’expansion de l’État n’en est pas la cause », affirme Vincent Geloso, économiste senior à l’IEDM et co-auteur de l’étude.

IEDM – Peut-on réformer l’État québécois? – Gabriel Giguère

L’État est-il obèse? Y aurait-il trop de fonctionnaires? La solution aux problèmes de nos systèmes de santé et d’éducation est-elle de toujours y injecter plus de fonds publics? L’État providence peut-il et doit-il être réformé? Devons-nous subventionner les entreprises étrangères à même les fonds publics? Dans le cadre du dépôt du budget provincial, entrevue avec Gabriel Giguère, analyse senior des politiques publiques à l’IEDM, diffusée le 13 juin 2024 dans le cadre de la balado Idées en évolution.

Le casse-tête québécois

Les Albertains et les Québécois ont toutes les raisons de dialoguer et de mieux se comprendre. Après tout, si on se fie aux sondages, le fruit est mûr pour une alliance de cœur et de raison.

MEI – Ballooning Public Service – Renaud Brossard

Entrevue (en anglais) avec Renaud Brossard, vice-président, Communications à l’IEDM, à propos d’une récente étude de l’IEDM classant les cinq principaux premiers ministres qui ont été au pouvoir depuis 1984 en fonction de la variation du nombre de fonctionnaires fédéraux par 1000 habitants pendant leurs mandats et pourquoi une fonction publique en constante expansion est une source de préoccupation. Publiée sur Conversation That Matters le 22 mars 2024.

Pourquoi le libéralisme économique demeure important

Pour bon nombre des problèmes qui touchent notre société, qu’il s’agisse du ralentissement de la productivité ou de la sous-performance persistante de nos systèmes de soins de santé, le problème vient, au moins en partie, d’un manque de liberté économique.

Back to top