People shouldn’t be fooled by the visions of Klaus Schwab and others who dream of a better, greener, and more equal “stakeholder” capitalism.

The state can potentially be a helpful servant, when controlled by proper institutions and traditions, but can also be a terrible master.

Entrevue (en anglais) avec Maria Lily Shaw, économiste à l’IEDM, à propos des dommages économiques collatéraux associés aux limites imposées sur la liberté d’expression. Diffusée le 18 janvier 2021 dans le cadre de l’émission CTV News at Noon – Montreal.

While Canada is a relatively free country, the pandemic has exacerbated our pre-existing shortcomings in terms of freedom of expression.

Au cours des dernières années, un mouvement important de censure s’est établi au sein des médias, du milieu académique et de la population en général. Pourquoi doit-on s’inquiéter de ce mouvement?

Un climat de censure semble s’installer sur nos campus universitaires, dans des institutions culturelles et même auprès du grand public. Or ce nouveau puritanisme nuit à l’économie et appauvrit les Québécois. Cette publication montre en effet que ceux-ci seraient plus riches si la liberté d’expression était encore plus grande.

Les débats d’idées, ainsi que l’économie de marché en général, sont menacés par ces tendances et il faut en prendre conscience.

In his 1946 book Economics in One Lesson, Henry Hazlitt observed that “government ‘encouragement’ to business is sometimes as much to be feared as government hostility.”

En plus d’une crise sanitaire, la pandémie de coronavirus soulève des craintes de crise économique. Alors que plusieurs commentateurs dressent des parallèles avec la grippe espagnole, cette publication de l’IEDM analyse les leçons économiques que l’on doit tirer de cet épisode historique.

Malgré la situation difficile que nous vivons tous, plusieurs initiatives et réactions de nos concitoyens et ailleurs dans le monde peuvent nous rendre fiers.