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Fiscalité

Les coûts économiques de la taxe sur le capital

En imposant directement un facteur de production comme le capital, on impose le processus même de production et de création de richesse au lieu d’imposer les revenus ou la consommation des individus. Ceci implique des coûts considérables en termes d’efficacité économique et nuit à la compétitivité du Canada et du Québec.

Déficit américain et impôts

Contrairement à une perception fort répandue, une réduction du fardeau fiscal ne compromet pas nécessairement l’équilibre des finances publiques d’un gouvernement. Cette réduction doit toutefois s’accompagner d’un contrôle de la croissance des dépenses.

Le Point de l’IEDM sur les excédents budgétaires fédéraux

Le ministre canadien des Finances Ralph Goodale annonçait la semaine dernière que l’excédent budgétaire fédéral pour 2004-2005, que le gouvernement prévoyait être de 4 milliards de dollars, atteindra 9 milliards, soit le même montant que l’année précédente. Le ministre prévoit affecter une partie de ce montant au remboursement de la dette et le reste à de nouvelles dépenses, comme le réclament de nombreux groupes de pression. L’IEDM rappelle pour sa part qu’une baisse des impôts comporterait des avantages beaucoup plus significatifs pour l’économie canadienne.

L’impôt à taux unique: pour un régime fiscal plus équitable et efficace

Il existe un mythe selon lequel notre système d’impôt sur le revenu des particuliers à taux marginaux progressifs respecterait les valeurs d’équité, de justice et de «solidarité sociale». Selon les adeptes de ce système, le taux d’imposition devrait évoluer en fonction du revenu de façon à «égaliser les sacrifices» que doivent faire les citoyens. Or, il est possible d’être solidaire sur le plan fiscal sans que cela passe par une progressivité des taux d’imposition. La solidarité sociale peut très bien être financée grâce à un système d’imposition à taux unique dans lequel, il ne faut pas l’oublier, les individus à revenus élevés continuent de payer plus d’impôts en termes absolus.

Le piège de la pauvreté

Quand on est pauvre, il ne sert pas à grand-chose de gagner plus l’argent parce que le gouvernement diminue ce qu’il nous donne de presque autant (et parfois même de plus) que ce que l’on gagne en revenu de travail. C’est le piège de la pauvreté.

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