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Fiscalité

Les bienfaits économiques d’une réduction de l’impôt sur le revenu

Les Québécois sont les contribuables les plus taxés en Amérique du Nord. Le taux marginal maximum de l’impôt sur le revenu des particuliers est plus élevé au Québec que dans toute autre province, et il frappe les contribuables québécois à partir de revenus relativement bas, soit 53 405 $. En fait, le taux marginal maximum est atteint plus vite au Québec que partout ailleurs dans les pays du G-7. La réforme promise par le gouvernement corrigerait cette situation si elle réduisait les taux marginaux du tiers. Il est temps de lancer une vraie réforme fiscale au Québec.

Les effets pervers des taxes

La science économique enseigne qu’il y a des limites à grever la capacité productive du privé pour financer le public. Au-delà d’un certain stade, le fardeau fiscal et réglementaire compromet le dynamisme économique.

Le fardeau fiscal et réglementaire des Québécois

Selon le nouveau premier ministre du Québec, M. Jean Charest, il faut baisser les impôts non pas pour le seul plaisir, mais «parce que c'est nécessaire, parce que notre fardeau fiscal est un obstacle à notre développement». Qu'en est-il exactement? Quel est le poids exact de ce fardeau fiscal et réglementaire que doivent supporter les Québécois?

Les riches Américains paient plus d’impôts

Même si les taux d’imposition sont plus faibles aux États-Unis, les Américains fortunés supportent une plus grande part du fardeau fiscal de leur pays que ne le font les riches aux Canada.

Comment en avoir plus pour nos taxes

Comme toute institution qui gère des ressources dans le but de produire des biens et services, l’État doit s’assurer d’utiliser les fonds qui lui sont confiés – c’est-à-dire nos impôts – le plus efficacement possible.

La moins pire façon de taxer

Si les taxes sont inévitables, on peut tout au moins suggérer à nos gouvernements une façon moins mauvaise de nous soutirer notre argent.

Les « cités »: une politique efficace pour la nouvelle économie?

Le gouvernement québécois encourage depuis la fin des années 1990 les entreprises oeuvrant dans un même domaine à déménager à l’intérieur de zones désignées au moyen d’exemptions fiscales qui coûteront plus de 2 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie. Cette politique des «cités industrielles» vise principalement à créer des synergies entre les entreprises et à revitaliser certains secteurs urbains. Elle ne repose toutefois sur aucune analyse détaillée.

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