fbpx

Fiscalité

L’impôt à taux unique: pour un régime fiscal plus équitable et efficace

Il existe un mythe selon lequel notre système d’impôt sur le revenu des particuliers à taux marginaux progressifs respecterait les valeurs d’équité, de justice et de «solidarité sociale». Selon les adeptes de ce système, le taux d’imposition devrait évoluer en fonction du revenu de façon à «égaliser les sacrifices» que doivent faire les citoyens. Or, il est possible d’être solidaire sur le plan fiscal sans que cela passe par une progressivité des taux d’imposition. La solidarité sociale peut très bien être financée grâce à un système d’imposition à taux unique dans lequel, il ne faut pas l’oublier, les individus à revenus élevés continuent de payer plus d’impôts en termes absolus.

Le piège de la pauvreté

Quand on est pauvre, il ne sert pas à grand-chose de gagner plus l’argent parce que le gouvernement diminue ce qu’il nous donne de presque autant (et parfois même de plus) que ce que l’on gagne en revenu de travail. C’est le piège de la pauvreté.

Les impôts et l’économie

Si dépenser de l’argent fait tourner l’économie, il n’y a pas de raison pour que l’économie roule moins quand ceux qui dépensent sont des bureaucrates, des fournisseurs de l’État ou des bénéficiaires de transferts, plutôt que les contribuables qui ont gagné l’argent.

Soaking ‘les riches’

Publication d’un Cahier de recherche sur l’impact économique qu’entraîneraient des réductions d’impôt sur le revenu.

Vers une baisse générale des impôts

Le Québec est riche en pauvres, mais pauvre en riches. Une baisse des taux d’imposition visant tous les contribuables est la meilleure façon de résoudre les problèmes d’équité, de compétitivité et d’équilibre budgétaire.

Les bienfaits économiques d’une réduction de l’impôt sur le revenu

Les Québécois sont les contribuables les plus taxés en Amérique du Nord. Le taux marginal maximum de l’impôt sur le revenu des particuliers est plus élevé au Québec que dans toute autre province, et il frappe les contribuables québécois à partir de revenus relativement bas, soit 53 405 $. En fait, le taux marginal maximum est atteint plus vite au Québec que partout ailleurs dans les pays du G-7. La réforme promise par le gouvernement corrigerait cette situation si elle réduisait les taux marginaux du tiers. Il est temps de lancer une vraie réforme fiscale au Québec.

Back to top