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Travail

La syndicalisation et l’emploi

De forts taux de syndicalisation sont, d’une part, associés avec des salaires plus élevés, mais, d’autre part, à un niveau d’investissement en capital et en recherche et développement relativement plus faible.

Des services publics plus efficaces grâce au partenariat public-privé

Avec l’élection, à Québec, d’un gouvernement ayant déclaré son intention de revoir le modèle québécois, l’heure du partenariat public-privé (PPP) pourrait enfin être arrivée. La nouvelle présidente du Conseil du trésor a déclaré vouloir entreprendre une vaste opération de réingénierie de l’État, notamment en ayant recours plus fréquemment au partenariat public-privé. Le Québec n’a pas jusqu’à présent fait appel au PPP autant que plusieurs pays de l’OCDE, ni même autant que plusieurs provinces canadiennes.

La liberté de travailler: source de prospérité et de création d’emploi

Parmi les obstacles à la résorption du chômage, il y a ceux créés par certaines dispositions du Code du Travail. L’un de ces obstacles porte le nom de « Closed-Shop », ou « atelier fermé ». Il date de l’époque des premiers Trade-Unions britanniques (1860). Dans le même esprit, la formule Rand stipule que l’on peut conditionner l’obtention d’un emploi à la cotisation au syndicat de l’entreprise. Ces deux formules sont actuellement en vigueur au Québec. Une contrainte est donc exercée sur les entreprises en imposant de n’embaucher que ceux qui auront au préalable cotisé (formule Rand) ou adhéré (atelier fermé) au « syndicat maison ».

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