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Vers plus de tarification des services publics?
Publication d’une Note économique de l’IEDM sur la tarification des services publics.
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Vers plus de tarification
Publication d’une Note économique de l’IEDM sur la tarification des services publics.
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La tarification des services publics: avantages et inconvénients
Sans tambour ni trompettes, le gouvernement du Québec a récemment entrepris un virage serré vers la tarification des services publics. Dès son premier budget, en juin 2003, il a cessé de rembourser aux parents les frais que leur exigent les écoles primaires et secondaires publiques. Puis, il a décrété une augmentation de la cotisation à l’assurance-médicaments et a levé le décret qui imposait le gel des tarifs d’électricité. En novembre, il a annoncé une augmentation de la contribution des parents dans les Centres de la petite enfance (CPE) et a poussé les sociétés de transport en commun à hausser leurs tarifs. Et ce n’est que l’amorce du virage.
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Le démantèlement de l’État-providence au Québec: mythe ou réalité?
L'histoire des finances publiques au Québec depuis les années 1960 se résume ainsi: croissance rapide des dépenses et accumulation de déficits jusqu'au milieu des années 1990, suivies de coupures budgétaires pendant quelques années et de l'élimination du déficit, puis d'une reprise de la croissance des dépenses jusqu'à aujourd'hui. Contrairement à ce que prétendent certains, l'État québécois n'a pas subi une cure d'amaigrissement draconienne au cours des dernières années. Les dépenses du gouvernement ont repris leur croissance depuis 1997.
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Plaidoyer pour une véritable assurance-emploi
Ottawa doit faire de l’assurance-emploi une assurance indépendante du fonds consolidé de l’État, et réduire les cotisations.
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Les arguments économiques contre les fusions municipales
Malgré une forte opposition locale, le gouvernement du Québec est allé de l'avant avec son ambitieux projet de réorganisation municipale. Celui-ci fait des 28 municipalités de l'île de Montréal, à partir du 1er janvier 2002, une seule ville divisée en 27 arrondissements; ailleurs dans la province, des dizaines de municipalités ont été forcées de fusionner. Le débat sur cette réorganisation risque cependant de se poursuivre.
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Créer la richesse pour combattre la pauvreté
Tenter de définir ce qui est nécessaire pour permettre à un individu ou une famille de subvenir à ses besoins a quelque chose de délicat, voire d’un peu odieux.
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Taille de l’État et richesse des Québécois
Cette Note économique se penche sur la croissance de l'État au Canada au cours des dernières décennies et offrent quelques estimations empiriques des coûts monétaires que cette expansion gouvernementale a entraînés pour les Canadiens en général et les Québécois en particulier. Comme c’est le cas de plusieurs médicaments, une petite dose de gouvernement peut garantir une société vigoureuse et en bonne santé, mais peut devenir un dangereux poison lorsqu’on en prend une trop grande quantité.
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Le « miracle celte »
Depuis 1987, l’Irlande est devenue incontestablement la star du monde économique international. C’est en effet l’année de l’arrivée au pouvoir d’une administration vouée à l’allégement fiscal et à la gestion responsable des finances publiques. 1987 est aussi l’année où est intervenu une sorte de consensus social en faveur de la modération en matière de coût du travail. John Bruton, chef de l’Opposition à Dublin, a joué un rôle de premier plan dans ce retournement épique. En fait, l’Irlande est vraisemblablement l’étoile la plus brillante du firmament économique à l’heure actuelle.
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Étatisme et déclin du Québec – Bilan de la Révolution tranquille
Étatisme et déclin du Québec constitue une analyse décapante de la Révolution tranquille, pivot autour duquel gravite l’interprétation reçue de l’histoire du Québec. Avant, c’était la grande noirceur; après, la modernité libératrice et le progrès triomphant. L’observation des faits contraint pourtant à peindre un tout autre tableau. Si la Révolution tranquille a marqué chez nous un tournant de l’évolution économique et sociale, ce fut un tournant pour le pire qui a signalé le début d’un élargissement progressif de l’écart entre la croissance de l’Ontario, du Canada et des États-Unis, d’une part, et celle du Québec, de l’autre.