Selon un large consensus, la progression de l’intelligence artificielle (IA) transformera nos vies au foyer comme au travail. Si la plupart des analystes s’entendent pour dire qu’à long terme, l’effet net de l’IA sur l’emploi sera positif (comme ce fut le cas pour toutes les révolutions technologiques précédentes), certains craignent qu’à court et moyen termes, l’IA élimine des emplois plus rapidement que ceux-ci pourront être remplacés.

Débat avec Germain Belzile, chercheur associé senior à l’IEDM, sur l’abolition des commissions scolaires par Québec. Diffusée le 1er octobre 2019 sur les ondes du réseau LCN.

Favoriser la concurrence entre les écoles pour permettre un meilleur contrôle des dépenses et une amélioration de la qualité de l’éducation.

29 août 2019 | 10 min. | Franchement dit – Jonathan Trudeau (QUB Radio) Entrevue avec Miguel Ouellette, chercheur associé à l’IEDM, […]

Lorsqu’il est question d’éducation, les gouvernements qui se sont succédé au Québec n’ont jamais hésité à vanter leurs « investissements ». Au cours des dernières années en particulier, l’éducation a souvent été considérée comme un des grands chevaux de bataille des différents partis politiques. Sachant que ce portefeuille représente le deuxième poste de dépenses de la province et que les prévisions suggèrent que ces dépenses vont continuer à croître, deux questions se posent : cette croissance est-elle soutenable, et y a-t-il moyen de faire les choses autrement?

6 décembre 2018 | 16 min. 15 sec. | Ségal-Lavoie le midi (FM93) Entrevue avec Germain Belzile, chercheur associé senior à l’IEDM, […]

17 août 2018 | 11 min. 28 sec. | Maurais Live (CHOI-FM) Entrevue avec Alexandre Moreau, analyste en politiques publiques à l’IEDM, […]

Le coût de l’abolition des droits et frais au collégial et à l’université.

Le coût de l’abolition des droits et frais au collégial et à l’université.

L’idée de rendre l’éducation supérieure « gratuite » au Québec ne date pas d’hier. Récemment, des politiciens ont relancé le débat en promettant de l’instaurer s’ils sont élus. Bien que l’idée puisse sembler attrayante à première vue, une telle politique serait coûteuse pour les contribuables québécois et ne favoriserait pas nécessairement la diplomation des étudiants, en plus d’être inéquitable.