Le mécontentement des Québécois et Québécoises à l’égard de l’ampleur du fardeau fiscal qu’ils doivent porter a fait la manchette ces dernières semaines. On ne doit pas pour autant s’attendre à voir le bon peuple se masser dans les rues et manifester, à l’instar d’un groupe militant. Plutôt, la majorité silencieuse continue de signaler ses maintes déceptions de façon bien plus subtile.
Le contribuable québécois est après tout confronté à un scénario tout à fait surréel.