Alejandro A. Chafuen, président et chef de la direction, Atlas Economic Research Foundation
« …votre institut représente un puissant modèle pour les autres think tanks au sein du réseau international avec lequel Atlas travaille. […] Nous vous sommes reconnaissants de vos nombreux efforts pour faire de l’Institut économique de Montréal un remarquable exemple du genre d’institution que nous voulons voir se développer dans tous les pays. » (notre traduction)
Claude Castonguay, lors d'un déjeuner-causerie présenté par l'IEDM
« J’aimerais remercier l’Institut économique de Montréal pour cette invitation. Je crois que vous faites un travail extrêmement utile pour faire comprendre davantage aux gens comment notre économie fonctionne et comment c’est important, surtout dans un contexte d’ouverture des économies.
Il est important de ne pas voir les problèmes uniquement en terme d’intervention gouvernementale ou de réglementation contraignante, mais de mettre en évidence les options que la concurrence, le libre marché et l’entreprenariat peuvent présenter.
Je crois que l’Institut économique de Montréal fait un travail utile et que vous méritez d’être soutenu et encouragé. »
Stephen Harper, chef de l'Opposition officielle à Ottawa et chef de l'Alliance canadienne, dans une lettre
« Je tiens aussi à réitérer mon appui à l’excellent travail de l’IEDM. L’Institut s’est distingué comme défenseur du libre marché et de ses bienfaits pour la société. Vous pouvez vous réjouir de vos réalisations. »
Diane Bellemare, porte-parole sur les finances de l'Action démocratique du Québec
« L’institut économique le plus crédible au Québec. »
Jean Charest, chef du Parti libéral du Québec, lors d'un déjeuner-causerie présenté par l'IEDM
« Je veux vous dire de vive voix mon appui pour l’Institut. […] la présence et la création de l’Institut est absolument essentielle pour avoir un vrai débat politique au Québec et pouvoir s’inspirer de nouvelles idées. D’idées qui vont nous permettre, à nous qui sommes à un autre niveau, de s’inspirer et de s’alimenter des choix, des vrais choix que nous avons dans la société québécoise. »
Linda Whetstone, présidente de International Policy Network et membre du conseil de la foundation Atlas et de l'Institute of Economic Affairs
« L’Institut économique de Montréal est en voie de s’imposer rapidement comme une force avec laquelle il faut compter non seulement au Québec, mais aussi bien au-delà de ses frontières. Il apporte un nouveau dynamisme et un sentiment d’urgence aux débats cruciaux sur les politiques publiques, par l’étude et la promotion d’approches qui permettraient une véritable prospérité et un bien-être à long terme. »
L'honorable Mike Harris, premier ministre de l'Ontario (1995 à 2002), lors d'un déjeuner-causerie organisé par l'IEDM
« L’Institut [économique de Montréal] est vraiment une force intellectuelle montante au Québec et au Canada. Son importance tient au fait qu’il apporte une nouvelle perspective sur les questions auxquelles la province doit faire face – une nouvelle façon de penser l’avenir du Québec. Comme premier ministre de l’Ontario, j’ai eu l’occasion de découvrir l’excellent travail de l’Institut et sa réputation de remise en question du statu quo.
Les vrais leaders sont ceux qui savent faire leur devoir. Ils tiennent parole malgré l’adversité, les protestations et les plaintes des groupes d’ intérêts qui défendent l’ordre établi. Voilà le type de leadership que méritent les Québécois et tous les autres Canadiens. »
Gillian Cosgrove, National Post
« All political parties in Quebec now use MEI research to score points off each other. »
Échange entre Jean Charest, chef du Parti libéral du Québec et chef de l'Opposition officielle à l'Assemblée nationale, et Bernard Landry, premier ministre du Québec, lors d'un débat en commission parlementaire
M. Charest: […] Si vous me permettez, c’est parce que je veux vous citer une étude qui a été rendue publique en février 2002. Le titre, c’est La Cité, une politique efficace pour la nouvelle économie? C’est par Pierre Desrochers.
M. Landry: Par qui?
M. Charest: Pierre Desrochers, directeur de la recherche de l’Institut économique de Montréal. […]
M. Landry: [J]e respecte beaucoup M. Desrochers et son Institut. […] les idées conventionnelles en matière d’économie qu’expriment ces intellectuels peuvent avoir un intérêt théorique. Moi, j’aime encore ça, lire ces choses-là. C’est pour ça que, quand j’entendais le chef de l’opposition me les lire, c’était une redite, pour moi. Je l’avais lu, son papier. […]
Échange entre Monique Jérôme-Forget, députée de Marguerite-Bourgeoys, et Pauline Marois, vice-première ministre du Québec et ministre des Finances, de l'Économie et de la Recherche, lors d'une Commission permanente des finances publiques
Monique Jérôme-Forget: […] M. le Président, si c’était si évident que c’est toujours très bon, il y a eu quand même plusieurs études qui ont été faites, démontrant que ce ciblage systématique au niveau d’un périmètre ou d’un secteur est également problématique. Je vais citer à la ministre l’Institut économique de Montréal, M. Desrochers, qui a fait quand même une analyse intéressante. Il a fait une analyse intéressante du projet, et voici ce qu’il dit, M. le Président: « L’une des conséquences de la révision de cette politique est qu’une portion considérable des crédits d’impôt consentis est investie dans la construction d’immeubles neufs plutôt que la formation. Cette relocalisation d’entreprises se fait aux dépens des promoteurs immobiliers oeuvrant dans des zones non désignées, dont le plus important est paradoxalement le gouvernement du Québec par l’intermédiaire de la Caisse de dépôt et placement. » M. le Président, ce qu’il dit: Au lieu d’offrir des incitatifs fiscaux ciblés, le gouvernement devrait baisser les impôts pour tous et laisser les entreprises décider eux-mêmes, au meilleur de leur jugement, de questions telles que la location de leur entreprise et les liens à développer avec leur milieu.
Pauline Marois: […] La députée de Marguerite-Bourgeoys soulevait, lisait des commentaires pris dans une publication, là, où on reprochait au gouvernement d’avoir créé des perturbations sur le marché immobilier. C’est vrai, dans une perspective où on était en explosion et où les investissements se multipliaient et les taux d’occupation étaient très bas, la perturbation n’était pas très grande dans le sens où on était, je dirais, dans la même foulée de tout ce qui se faisait déjà à cet égard-là. C’est vrai que le ralentissement qu’on connaît maintenant nous a amenés à revoir, justement, cette perspective d’investissement. Et c’est pour ça qu’on a modifié, entre autres, la question de la Cité du commerce électronique, pour dire: Nous l’avions réservée à des édifices à l’endroit x et maintenant nous pensons qu’il est plus sage de pouvoir ouvrir sur un périmètre plus grand. C’est d’ailleurs ce que nous avait recommandé le centre de développement des études urbaines, c’est ça, l’Institut de développement urbain de Montréal. Alors, ça va dans le sens, oui, des commentaires qui avaient été faits, puis on a corrigé le tir à cet égard-là.