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Services sociaux

Conflit de travail dans les Centres de la petite enfance: les ratés de la réforme

Le spectre d’une grève générale dans le réseau des 310 Centres de la petite enfance (CPE) affiliés à la CSN – avec les tracas et les pertes de revenus qu’il cause aux parents – représente le fruit amer de la quasi-nationalisation des garderies en 1997. Depuis lors, la négociation d’une convention collective à l’échelle du Québec a engendré des grèves causant la perte de 73 000 jours personnes de travail, soit plus du double des 34 000 jours personnes perdus de 1990 à 1997 inclusivement.

Le Point de l’IEDM sur la réforme de l’aide sociale

La réforme en cours modifie le programme d’aide sociale, notamment dans le but de valoriser le travail et d’inciter les prestataires à accroître leur effort de travail. Pour ce faire, le travail rémunéré doit devenir plus payant que l’alternative consistant à recevoir un chèque tout en disposant de son temps autrement. Or, à mesure qu’un prestataire accroît ses revenus de travail, il commence à cotiser au RRQ et à l’assurance-emploi.

Quelques mythes sur les causes de la crise du logement

Selon ce qu'avancent des chercheurs universitaires et des groupes de pression, la crise du logement qui frappe les principales régions métropolitaines du Québec aurait été provoquée par l'appauvrissement de la population, par la réduction des budgets à la construction de logements sociaux ou encore par l'incapacité des entrepreneurs privés à s'adapter aux nouveaux modes de vie des Québécois. Les données les plus récentes nous indiquent toutefois que ces explications ne tiennent pas la route.

Les pauvres s’enrichissent

Contrairement à ce que laissent entendre des activistes, la pauvreté n’est pas une trappe dont il est impossible de se sortir.

Dona Chalia et l’antimondialisation

La mondialisation profite aussi aux pauvres. Prenez l’exemple de Rosalía Ictem, une femme qui a mit sur pied une entreprise dans le village de Santa Elena…

La pauvreté n’est pas une condition permanente

Dans les médias, certaines interventions publiques sur la pauvreté contiennent des exagérations, parfois même des faussetés. On a souvent l'impression que les gens à faible revenu sont très nombreux et que pour la majorité d'entre eux, c'est une condition de vie permanente. Cette perception est, en fait, contraire à la réalité. La permanence de la pauvreté est une des questions auxquelles les recherches sur la mobilité sociale permettent de répondre. Une grande mobilité sociale rend possible une meilleure adaptation aux changements constants de la vie économique.

La croissance profite aux pauvres

« Les riches s’enrichissent et les pauvres s’appauvrissent. » Voilà une affirmation que l’on entend régulièrement et qui sert de conclusion toute faite à plusieurs débats, qu’il s’agisse de libre-échange ou de réduction d’impôts. Une opinion courante veut en effet que la croissance économique ne profite pas aux pauvres. Le revenu des pauvres n’augmenterait pas ou augmenterait moins vite que celui de la population en général, de sorte que la croissance économique creuserait l’inégalité des revenus. Qu’en est-il véritablement?

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