Le départ du super-ministre Pierre Fitzgibbon n’a rien changé: nous n’avons pas plus d’énergie au Québec que nous en avions avant son départ.
Un adage populaire veut que la première étape pour résoudre un problème consiste à admettre que nous avons un problème. Le fait qu’Hydro-Québec ait reconnu au cours des derniers mois le fait que nous nous dirigeons tout droit vers une pénurie est en soi un fait important.