L’ascenseur social québécois est en panne

Naître en situation de pauvreté ne devrait pas être une condamnation à vivre toute sa vie avec peu de moyens.
Grâce à l’éducation, au travail et à la détermination, il devrait être possible pour tous d’accéder à la classe moyenne ou supérieure. Ce principe, c’est celui de l’égalité des chances, si cher à notre société. Et le moyen d’en mesurer l’efficacité, c’est ce que l’on appelle la mobilité sociale.
Malheureusement, au fil des ans, les indicateurs de mobilité sociale montrent un Québec où la condition socio-économique tend de plus en plus à se figer dès la naissance.
Pour comprendre les causes de ce phénomène, des chercheurs de l’IEDM se sont penchés sur la littérature scientifique afin d’identifier les différents déterminants de la mobilité sociale.
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Daniel Dufort est président et directeur général de l’IEDM. Il signe ce texte à titre personnel.