fbpx

Communiqués de presse

Privatiser Hydro-Québec permettrait d’enrichir les Québécois de 10 milliards $ par an

Montréal, 3 février 2009 – En privatisant Hydro-Québec, les Québécois en retireraient 10 milliards $ de plus par an, en améliorant sa productivité, en haussant les tarifs d’électricité et en mettant fin aux coûteux programmes de subventions aux alumineries. La nouvelle entreprise privée serait tenue de verser des redevances annuelles substantielles au gouvernement. Dans un Cahier de recherche publié par l’Institut économique de Montréal, Claude Garcia, administrateur de sociétés et ancien président des opérations canadiennes de la Standard Life, explique pourquoi.

Nathalie Elgrably-Lévy revient à l’Institut économique de Montréal

Montréal, 22 janvier 2009 – Nathalie Elgrably-Lévy revient à l’Institut économique de Montréal (IEDM) à titre d’économiste senior. Bien connue pour sa chronique hebdomadaire dans Le Journal de Montréal et dans Le Journal de Québec et comme économiste à l’IEDM de 2005 à 2008, elle a occupé depuis l’été dernier le poste d’économiste senior auprès de l’Institut Fraser. Avec l’IEDM, elle analysera à partir de maintenant les politiques publiques locales et internationales afin d’évaluer leur efficacité et de cerner les divers enjeux socio-économiques qui y sont reliés. Ses recherches et ses analyses seront publiées par l’IEDM et accessibles sur ce site.

L’IEDM remet deux Prix d’éducation économique

Montréal, 12 décembre 2008 – L’Institut économique de Montréal a remis deux Prix d’éducation économique, de 3000 $ chacun, à Martin Jolicoeur, journaliste au journal Les Affaires, et à Sean Silcoff, journaliste indépendant et jusqu’à récemment chroniqueur et correspondant de Montréal auprès du National Post.

Michel Kelly-Gagnon reprend les rênes de l’IEDM

Montréal, 12 novembre 2008 – Hélène Desmarais, présidente du conseil d’administration de l’Institut économique de Montréal (IEDM), est très heureuse d’annoncer aujourd’hui la nomination de Michel Kelly-Gagnon à titre de président de l’IEDM. Après avoir présidé à un développement important de l’Institut, de 1999 à 2006, ce dernier se voit confier la mission d’en reprendre les rênes tout en accroissant sa présence dans les dossiers de politiques publiques pertinents sur la scène fédérale. Ces trois dernières années, M. Kelly-Gagnon a dirigé le Conseil du patronat du Québec, la plus importante organisation d’affaires de la province.

10 chantiers pour faire de Montréal une vraie métropole

Montréal, 1er novembre 2008 – L’Institut économique de Montréal (IEDM) présente aux Montréalais et aux Québécois 10 idées pour le développement économique de Montréal, intitulées: «10 chantiers pour faire de Montréal une vraie métropole». Ces propositions, applicables dans un horizon d’un à cinq ans, seront discutées dans les pages du Journal de Montréal ce samedi 1er novembre et dans les jours qui suivront.

Un Palmarès des écoles secondaires qui donne l’heure juste

Montréal, Montreal, October 23, 2008 – Pour la première fois, le Palmarès des écoles secondaires 2008, réalisé par l’Institut économique de Montréal (IEDM) et publié par le magazine L’actualité, évalue l’impact de l’école elle-même sur les résultats scolaires, une fois pris en compte l’effet de la sélection des élèves et l’importance du milieu social. Ce nouvel indicateur est un outil indispensable aux parents et aux enseignants qui souhaitent avoir une mesure de la contribution de chaque école au succès de ses élèves.

L’augmentation asymétrique des droits de scolarité diminuerait d’un quart le retard du Québec par rapport à la moyenne canadienne

Montréal, 20 octobre 2008 – L’augmentation asymétrique des droits de scolarité, c’est-à-dire différenciée selon les programmes d’études, permettrait de percevoir un quart du montant que le Québec obtiendrait en fixant les droits de scolarité à la moyenne canadienne. Cette augmentation contribuerait au financement à long terme des universités, qui bénéficieraient d’une augmentation globale de leurs revenus de 110 millions $ par année. Cette réforme pourrait avoir lieu de 2012 à 2017, afin de permettre aux étudiants de s’y préparer.

Encourager la formation professionnelle pour accroître l’employabilité des jeunes

Montréal, 24 septembre 2008 – Pour réduire la proportion de jeunes qui abandonnent l’école sans formation leur permettant d’accéder au marché du travail, on pourrait inciter ceux qui ne souhaitent pas obtenir un diplôme collégial à se diriger plus tôt vers la formation professionnelle au secondaire, en établissant un diplôme de 3e secondaire. À la suite de l’obtention de ce diplôme, les élèves qui se destinent à l’université compléteraient trois ans de formation préuniversitaire dans les écoles secondaires plutôt qu’au cégep et ils entreprendraient ensuite un baccalauréat universitaire de quatre ans. Les cégeps se concurrenceraient afin d’offrir des programmes de formation professionnelle et technique de durée variable.

Exporter l’eau: une source d’enrichissement pour le Québec

Montréal, 27 août 2008 – L’exportation d’eau douce à grande échelle constituerait une idée créatrice de richesse pour le Québec et le Canada. À l’heure où l’eau se fait rare dans plusieurs parties du monde, son développement économique suscite pourtant de l’opposition. Tandis que certains craignent une exploitation abusive, voire l’assèchement de nos ressources hydriques, l’auteur, Marcel Boyer, vice-président et économiste en chef de l’Institut économique de Montréal (IEDM), dans un Cahier de recherche publié par l’Institut, estime qu’il est urgent de s’intéresser sérieusement à la valorisation de notre or bleu.

Enquête auprès des infirmières : elles travailleraient davantage dans une pratique mixte public-privé

Montréal, 19 juin 2008 – Une enquête menée par l’Institut économique de Montréal (IEDM) auprès des infirmières révèle que le rapport de la Table nationale de concertation sur la main-d’oeuvre en soins infirmiers néglige un aspect important de la disponibilité des infirmières: plus de la moitié (54%) se montrent ouvertes à travailler pendant les jours de semaine dans le secteur privé en supplément de leur tâche habituelle (34 heures en moyenne parmi les répondantes) dans le secteur public.

Back to top