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Travail

Quand les infirmières crient «sauve-qui-peut»

Si au lieu de forcer les infirmières à choisir entre quitter la profession ou travailler pour l’État, on leur laissait un peu plus de flexibilité, il y a fort à parier qu’elles seraient plus nombreuses à rester dans la profession et à continuer de prendre soin des Québécois et Québécoises.

Notre déficit de productivité

Tant que nous ne nous attaquerons pas à ce problème de manque de compétitivité sur le plan réglementaire et fiscal, nous risquerons de voir notre niveau de vie stagner, voire baisser, alors que celui du reste du monde progresse.

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