15 novembre 2022 | 6 min. 29 sec. | Midi actualité (107,7 FM) Entrevue avec Emmanuelle B. Faubert, économiste à l’IEDM, à […]

L’implantation d’un système de santé mixte, comme en France et en Suède, serait soutenue par une majorité de citoyens selon un nouveau sondage IPSOS commandité par l’Institut économique de Montréal (IEDM).

Given the choice, people prefer to live out their days in their homes, among their loved ones. We have the means to respect those preferences.

Les gouvernements du Québec et des autres provinces devraient implanter un système de prestations pour soins pour encourager les soins à domicile tout en respectant la capacité de payer des contribuables, selon cette Note de l’IEDM.

Sur la question des soins à domicile, le Québec pourrait apprendre une chose ou deux du Danemark pour aider nos aînés à rester chez eux plus longtemps.

La province devrait bâtir un système de soins à domicile qui corresponde aux désirs de la population et qui réponde aux besoins des personnes âgées du Québec.

By creating a training program for caregivers and facilitating innovation within the home care network, more seniors will be able to experience the benefits of staying in their own homes as they age.

Bien que le vieillissement de la population représente un phénomène bien connu et documenté depuis de nombreuses années, il occupe une place de plus en plus importante dans les médias depuis quelques semaines déjà.

La pandémie a brutalement mis en lumière les défaillances du système de santé québécois; les reports d’interventions chirurgicales font d’ailleurs de nouveau les manchettes. La pénurie de médecins et l’absence de concurrence entre le privé et le public nuit à l’accessibilité des soins. Cette publication propose plusieurs façons d’améliorer l’accès aux soins de santé, notamment en faisant plus de place aux fournisseurs indépendants et en augmentant le nombre de médecins au Québec. Pour ce faire, il faudra cependant que le Collège des médecins et le gouvernement mette un terme à leur liaison intime nuisible pour les Québécois et Québécoises.

Dans les derniers jours, de nombreux boucliers se sont levés face au controversé projet de loi 96, notamment dû à l’incertitude pour les anglophones et allophones de continuer à recevoir des services publics en anglais.