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Tuer la prospérité dans l’oeuf: les effets de la taxe sur les gains en capital
La taxe sur les gains en capital.

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Nipping wealth in the bud: The effect of capital gains taxes
La taxe sur les gains en capital.

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A Capital Idea: Study shows cutting capital-gains taxes would increase government revenues
Les effets néfastes de l’impôt sur les gains en capital.

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L’impôt proportionnel: Une option à envisager sérieusement
L’impôt proportionnel et le modèle albertain.

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The Flat Tax: It’s actually a prescription for enhanced productivity
L’impôt proportionnel et le modèle albertain.

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La taxe sur les gains de capital: un énorme fardeau social
Pour aspirer à la prospérité, il nous faut changer nos vieilles méthodes, abandonner nos industries désuètes et miser sur de nouvelles façons de faire et sur les entreprises novatrices. Pour réaliser cette transition, les capitaux doivent suivre. Ils doivent passer des industries d’hier à celles de demain. Ce changement est un pari. Les gens expérimentent sans cesse et ces expérimentations doivent être financées. Ce financement à son tour impose la mobilité du capital et repose donc sur les incitations qu’auront les agents économiques à faire passer les capitaux d’une entreprise à l’autre. Si ce genre de déplacement est taxé – et c’est ce que fait l’impôt sur les gains en capital –, l’incitation à transférer des ressources de l’ancienne à la nouvelle idée en est affaiblie.

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Lorsque le gouvernement limite la liberté de choix des épargnants
Les conséquences de la limite sur les titres étrangers dans les REER.

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Hobbling investment: The 20% foreign content rule for RRSPs should be abolished
Les conséquences de la limite sur les titres étrangers dans les REER.

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Fiscalité des Québécois et croissance
Les gouvernements canadiens exercent sur l’économie canadienne une ponction supérieure à celle de toute autre période antérieure, à l’exception de la deuxième guerre mondiale. La famille canadienne moyenne verse plus de 46% de son revenu en taxes, contre 33% en 1961. Le compte de taxe de la famille canadienne s’est alourdi de 1 286% depuis 1961, pour absorber à lui seul plus de ressources que les trois composantes des dépenses essentielles combinées que sont le logement, l’alimentation et le vêtement. Des quatre pays avec lesquels on commerce le plus, c’est au Canada que l’ensemble du fardeau fiscal s’est le plus appesanti au cours des trois dernières décennies. Le seul impôt sur le revenu a augmenté deux fois plus qu’aux États-Unis.