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Éducation

La hausse des droits de scolarité réduirait-elle l’accessibilité aux études universitaires?

En février 2004, l’IEDM publiait une Note économique sur les droits de scolarité et leur effet sur l’accessibilité aux études universitaires. Depuis, le gouvernement du Québec a annoncé une hausse cumulative de ces droits de 50 $ par trimestre de 2007 à 2012. On ignore toujours quelle sera la politique adoptée après 2012. À ce jour, les droits de scolarité québécois sont toujours inférieurs à leur seuil de 1994-1995 en dollars constants. Cette Note économique constitue une mise à jour qui vise à faire le point sur la situation des droits de scolarité universitaires au Québec.

Portrait des écoles secondaires du Québec 2008

Ce nouveau Portrait des écoles secondaires du Québec se veut un outil qui répond aux besoins à la fois des parents et des gestionnaires du réseau scolaire. Il est complété par un outil Web interactif qui rend disponible un ensemble complet d’informations qui répondront aux besoins de ces deux clientèles.

Les droits de scolarité et le financement à long terme des universités

Le gouvernement québécois prévoit hausser les droits de scolarité universitaires de 50 $ par trimestre jusqu’en 2011-2012. Jusqu’ici, peu d’études ont évalué les conséquences de cette politique de «dégel» sur le financement des universités et sur la participation des étudiants à celui-ci. De plus, aucune annonce ne laisse deviner la politique de tarification des études universitaires qui prévaudra après 2012. Cette Note économique amorce donc la réflexion sur le type de politique qui pourrait être adoptée afin d’assurer le financement à long terme des universités.

Un problème d’aiguillage

Publication d’une Note économique sur la place de la formation professionnelle dans le système d’éducation québécois.

Formation professionnelle: à la recherche du temps perdu

Avec le vieillissement de la population et le nombre élevé de départs à la retraite, de nombreux postes seront à combler dans les prochaines années dans les métiers et techniques spécialisés. En conséquence, les conditions salariales associées à ces emplois deviennent de plus en plus intéressantes. Or, la plupart des politiciens et des journalistes ayant fréquenté l’université, on a souvent tendance à oublier l’importance de la formation professionnelle dans les débats publics. Parallèlement, le décrochage scolaire reste un grave problème au Québec (un cinquième des jeunes de 19 ans est dans cette situation). Le phénomène mérite qu’on s’y attarde afin d’éviter à plusieurs jeunes de commencer leur vie professionnelle du mauvais pied.

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