Plaidoyer pour la mondialisation capitaliste
Preuves à l’appui, l’auteur suédois Johan Norberg démontre que l’ouverture au commerce et aux flux financiers internationaux est un facteur de progrès, surtout pour les plus pauvres de la planète. Il réfute de façon systématique les arguments des adversaires du libre-échange et du capitalisme. Encensé par plusieurs journaux et magazines prestigieux dont le Financial Times, le Frankfurter Allgemeine Zeitung et The Times, l’ouvrage de Johan Norberg a été couronné du Anthony Fisher International Memorial Award en 2002, un prix qui récompense les ouvrages remarquables publiés par des instituts indépendants de recherches en politique publique. L’IEDM, en collaboration avec les Éditions Saint-Martin, rend maintenant disponible aux lecteurs francophones cette importante contribution au débat sur la mondialisation.
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« Plaidoyer pour la mondialisation capitaliste est l’un des meilleurs livres que j’ai lus sur le sujet, sinon le meilleur. Norberg réussit, avec un talent certain en matière de vulgarisation, à nous expliquer les vertus et les retombées fantastiques des libertés individuelles, des droits de propriété et du libre marché, lorsqu’ils sont défendus et promus par un État libéral. » • André Gosselin, Les Affaires.com
« [U]ne réfutation méthodique de tous les arguments des adversaires de la mondialisation, tel est le passionnant et indispensable ouvrage écrit par Johan Norberg et publié en français grâce à l’association de l’Institut Timbro de Stockholm avec l’Institut économique de Montréal. » • Alain Madelin, homme politique français
« Je voudrais féliciter l’Institut ainsi que Michel [Kelly-Gagnon] pour avoir pris l’initiative de lancer ce livre au Canada et au Québec. Cela amènera de nouvelles idées dans la discussion, nous en avons bien besoin. […] Johan Norberg est une sorte de nouveau Frédéric Bastiat. » • Rodrigue Tremblay, professeur émérite au département de sciences économiques de l’Université de Montréal et ancien ministre de l’Industrie et du Commerce
« L’auteur, ancien anarchiste, a eu la curiosité de se pencher sur les principaux arguments des militants antimondialisation. Le résultat est plus qu’intéressant. M. Norberg montre qu’avec un minimum d’esprit critique, on peut illustrer à quel point certains raisonnements largement véhiculés dans les médias reposent sur des bases fragiles. Jusqu’à présent, le mouvement antimondialisation a tenu le haut du pavé, faisant passer ses dogmes pour des réalités. […] Page après page, l’auteur déboulonne tous ces mythes. Rares sont les intellectuels, à travers le monde, qui ont osé défier le petit catéchisme de l’antimondialisation. C’est une excellente chose que quelqu’un ose exposer avec rigueur, dans une langue accessible, l’autre côté de la médaille. » • Claude Picher (chroniqueur économique), La Presse, 3 mai 2003