Ne craignons pas le bilinguisme
Selon l'Office québécois de la langue française, la proportion de travailleurs utilisant principalement le français a progressé de 1971 à 2010. Mais cette nouvelle importe peu pour la classe politique qui préfère s'indigner de la présence du bilinguisme au travail.
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Nathalie Elgrably-Lévy est économiste senior à l'Institut économique de Montréal. Elle signe ce texte à titre personnel.
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Québec.