Exporter l’eau: une source d’enrichissement pour le Québec?
À l’heure où l’eau se fait rare dans plusieurs parties du monde, son développement économique suscite de l’opposition au Canada. Est-ce que l’exportation d’eau douce à grande échelle constituerait une idée créatrice de richesse? Tandis que certains craignent une exploitation abusive, voire l’assèchement de nos ressources hydriques, d’autres estiment qu’il est urgent de s’intéresser sérieusement à la valorisation de notre or bleu. C’est ce deuxième point de vue que Marcel Boyer défendra, en montrant pourquoi et comment des marchés de l’eau pourraient être bénéfiques tant pour le Canada que pour les États-Unis. Un panel composé d’experts a débattu de ces idées.
Photos prises lors de l’événement
De gauche à droite: John W. Dobson, président de la fondation John Dobson, Marcel Boyer, vice-président et économiste en chef de l’IEDM, & Peter R. Johnson, vice-président de la fondation John Dobson.
Léon Courville, membre du conseil d’administration de l’IEDM, a présenté les invités.
Marcel Boyer, vice-président et économiste en chef de l’IEDM.
Les panélistes (de gauche à droite): Pierre-Olivier Pineau, professeur en méthodes quantitatives de gestion et spécialiste des politiques énergétiques, HEC Montréal, et Frédéric Lasserre, professeur et directeur de l’Observatoire de recherches internationales sur l’eau, Université Laval.
De nombreux intervenants se sont déplacés pour entendre les propos des invités.
La période de questions.
Les panélistes ont rencontré les médias.
Photos: Claudio Calligaris