Prises de contrôle étrangères: faut-il s’en inquiéter? Faut-il agir?
Une vague d’acquisitions d’entreprises canadiennes par des intérêts étrangers a fait ressurgir des craintes relatives à la perte de contrôle de l’économie québécoise et canadienne. Certains craignent pour l’avenir des sièges sociaux et des entreprises de services qui gravitent autour. D’autres voient plutôt les bénéfices de l’investissement étranger et soutiennent qu’il ne faut surtout pas le restreindre. Tandis que le Groupe d’étude sur les politiques en matière de concurrence se penche sur le sujet, l’Institut économique de Montréal reçoit à sa tribune deux acteurs avertis qui viendront débattre des enjeux. Dans le coin « Laissez-faire! »: Jean-Luc Landry. Dans le coin « Il faut réagir! »: Charles Sirois.
Photos prises lors de l’événement
Paul Daniel Muller, président de l’IEDM, souhaite la bienvenue aux invités.
Robert Yalden, associé du secteur du droit des affaires et coprésident du groupe des fusions et acquisitions de Osler, Hoskin & Harcourt, présente les conférenciers.
Présentation de Jean-Luc Landry, président de Landry Morin Inc.
Présentation de Charles Sirois, président du conseil et chef de la direction de Télésystème Ltée.
Début de la période de questions – animée par Stéphane Lavallée, éditeur du journal Les Affaires.
De nombreux intervenants se sont déplacés pour entendre les propos de MM. Landry et Sirois.
M. Sirois a rencontré les médias après le débat.
M. Landry a rencontré les médias après le débat.
Photos: Claudio Calligaris