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Quand les infirmières crient «sauve-qui-peut»

Si au lieu de forcer les infirmières à choisir entre quitter la profession ou travailler pour l’État, on leur laissait un peu plus de flexibilité, il y a fort à parier qu’elles seraient plus nombreuses à rester dans la profession et à continuer de prendre soin des Québécois et Québécoises.

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