Barrières interprovinciales: le projet de loi 112 est un autre pas dans la bonne direction pour le Québec

Dans ce qui ressemble à un rare moment de lucidité, l’appel à l’élimination des barrières commerciales internes a retenti aux quatre coins du Canada au cours des derniers mois et, étonnamment, il semble aujourd’hui se traduire par des gestes concrets.
Le 30 mai dernier, le ministre délégué à l’Économie du Québec, Christopher Skeete, a déposé le projet de loi 112 intitulé Loi favorisant le commerce des produits et la mobilité de la main-d’œuvre en provenance des autres provinces et des territoires du Canada. Ce nouveau projet de loi est un pas en avant vers l’élimination des barrières commerciales interprovinciales et la promotion des échanges commerciaux au sein du Canada.
Cette mesure mérite d’être saluée, surtout si l’on considère que le premier effort majeur du Québec pour lever les barrières commerciales remonte à 2009, avec la signature de l’Accord de commerce et de coopération entre le Québec et l’Ontario (ACCQO).
Pour tirer le meilleur parti de cette nouvelle initiative, il convient de prendre le temps de réfléchir aux raisons pour lesquelles l’accord de 2009 n’a pas été à la hauteur.
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Daniel Dufort is President and CEO of the MEI. The views reflected in this opinion piece are his own.