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Textes d'opinion

Moins de pauvres grâce au capitalisme, parole de Bono!

Voilà une bonne nouvelle dont on n’a, à mon avis, pas assez parlé.

Pour la première fois dans l’histoire, la pauvreté extrême va toucher moins de 10 % de la population mondiale, selon la Banque mondiale.

En 2012, c’était 13 % de la population mondiale qui souffrait d’extrême pauvreté, et en 1999, c’était 29 %! C’est une tendance vraiment positive. Au total, c’est 1 milliard de personnes qui ont été sorties de l’extrême pauvreté ces 20 dernières années.

Et quelle est la raison? Il peut y en avoir plusieurs, mais il ne fait aucun doute que le capitalisme et le libre-échange – qu’il est toujours à la mode de décrier – ont été des facteurs déterminants, comme le souligne elle-même la Banque mondiale dans un récent rapport.

D’ailleurs même le chanteur du groupe U2, Bono – qui s’implique beaucoup en Afrique, notamment –, l’a publiquement et candidement admis il y a quelques années lors d’une conférence. Je le cite : « Le commerce et le capitalisme entrepreneurial sortent plus de gens de la pauvreté que l’aide internationale, ça ne fait aucun doute. »

Évidemment, un nombre trop élevé de gens sur la planète demeurent toujours dans un état d’extrême pauvreté. Il faut donc poursuivre dans cette voie, et encourager le libre-échange.

Michel Kelly-Gagnon est président et directeur général de l'Institut économique de Montréal. Il signe ce texte à titre personnel.

Lire la chronique sur le site du Journal de Montréal

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